Rosalia alpina
pour les latinistes… vous connaissez ? Mais oui, ce magnifique
longicorne ! L’espèce numéro 46 du superbe ouvrage sur les «
longicornes armoricains » de Xavier Gouverneur et Philippe Guérard.
Parée de son admirable costume en velours bleu taché de noir, cette
espèce est parmi les plus belles de notre vieux continent. L’atlas
avait mis en évidence une présence bien marquée sur la vallée de la
Loire, dans les Deux-Sèvres et le Sud-Vendéen. Plus sporadiquement, la
Rosalie est également présente sur le littoral breton, jusque dans le
Finistère. Enfin, une donnée mayennaise pourrait témoigner de
l’expansion de l’aire de répartition de ce longicorne vers le Nord.
Cette
année, après le succès de l’enquête Lucane, l’OPIE s’associe au GRETIA
pour une nouvelle enquête sur, vous l’aurez deviné, la Rosalie des
Alpes ! C’est donc l’occasion de repartir à sa recherche, dans le
Massif armoricain bien sûr, mais aussi ailleurs en France !
Si
la vallée de la Loire et le Sud du Massif armoricain semblent bien
connus, il serait intéressant de savoir si l’espèce a prospéré sur le
littoral breton, ainsi qu’en Mayenne.
Alors venez participer à l’enquête de l’OPIE et du GRETIA et transmettez vos données de Rosalie !
Retrouvez toutes les infos sur la page de l’OPIE :
http://www.insectes.org/opie/pages_dyna.php?idpage=889
Plaquette de l´enquête Rosalie (PDF 1267Ko) Affiche de l´enquête Rosalie (PDF 2976Ko)